Strongles digestifs chez les génisses : traiter au bon moment et si nécessaire
Mais attention, il en faut la juste quantité ! Trop de larves ingérées peuvent entraîner des retards de croissance, une diarrhée ou un poil piqué. L’idéal est donc d’éviter ces signes cliniques grâce un contact maîtrisé avec les parasites.
Sommaire
Schéma du cycle des strongles digestifs les plus fréquents (Ostertagia et Cooperia)
Maîtriser l’intensité d’infestation des pâtures
La durée de pâturage
Les rotations de pâtures
La météo
La complémentation au champ
L’historique de la pâture
Quelle stratégie de traitement antiparasitaire ?
Les traitements à l’échelle du lot
- Des logiciels en ligne, comme Parasit’sim® permettent de simuler le risque sur des bovins en pâture dans certaines situations-types de conditions météorologiques ou de conduites de pâturage.
- A la rentrée à l’étable, le dosage du pepsinogène (marqueur de l’intensité des lésions de la caillette causées par les strongles digestifs, recherché dans le sang) sur 5 à 10 génisses, permet d’évaluer si le plan de contrôle du parasitisme a été suffisant pendant la saison de pâturage, et si un (nouveau) traitement est nécessaire.
Les traitements à l’échelle de l’individu
La pesée des génisses : une bonne option
Pour optimiser la croissance de vos génisses tout en ayant une utilisation raisonnée des antiparasitaires, n’hésitez pas à nous contacter !
Sarah NEUMANN-RAOUX
Vétérinaire
sarah.neumannraoux@eilyps.fr
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